L'OPRL met le cap à l'ouest sous la baguette de Christoph Campestrini

"Un Américain à Paris de Georges Gershwin apportait une agréable conclusion à ce concert. Christoph Campestrini dynamise l’entièreté des pupitres de l’orchestre et nous promène dans un Paris espiègle et brillant tout en évitant avec brio les lourdeurs parfois imposées dans le final de cette pièce. Enfin, ne refusant rien à un public enthousiaste, l’orchestre a présenté en bis l’ouverture de Candide de Bernstein. Campestrini y adopte un tempo aussi jubilatoire pour le public qu’infernal pour les musiciens, apportant un brin de folie bienvenu à cette agréable soirée." Pour lire la critique intégrale de Sylvain Rouvroy, cliquez sur le lien.
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L'OPRL met le cap à l'ouest sous la baguette de Christoph Campestrini