Mendelssohn et Chostakovitch, frères d'infortune

"Le morceau de bravoure fut évidemment la symphonie de Chostakovitch, doublement guidée par Arming et par l'extraordinaire Vinogradov, conteur autant que chanteur (voix superbe), présent du début à la fin de cet oratorio hors norme. Le public ne s'y est pas trompé, offrant aux musiciens un silence passionné, concerné, bien au-delà du moment où la musique s'était tue." Martine Dumont-Mergeay, La Libre Belgique, 4 février 2017.

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Mendelssohn et Chostakovitch, fères d'infortune