« Un gigantesque Lego »
« C’est un hommage à Bach, mais avec plein de clins d’œil. L’œuvre commence par la flûte solo, bientôt suivie, une à une, de toutes les flûtes de l’orchestre. L’ensemble sonne alors comme un nouvel instrument autonome. Un clavecin s’incruste, un duo s’esquisse avec un basson en basse continue. Et ainsi va cet hommage en forme de tiroirs jusqu’à ce que la badinerie finale (allusion au dernier mouvement de la suite de Bach) débouche sur une bacchanale très virtuose. L’œuvre est construite comme un gigantesque Lego où circulerait un train électrique qui serait la flûte solo. » (Serge Martin, Le Soir, 20/04/2016)
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