Une personnalité affirmée

"«La leggierezza» (1848), «Feux follets» (1851) et «La campanella» (1838) de Liszt scintillantes, limpides, à la dynamique minutieuse, aux trilles impeccables. Malgré, là aussi, sa rapidité, l’exécution demeure le plus souvent précise. Khatia Buniatishvili garde également le contrôle dans une Deuxième Rhapsodie hongroise (1851) énergique, à l’impulsion ferme mais de nouveau trop extérieure et manquant de noblesse. Elle affiche, pour finir, beaucoup d’imagination dans les Trois mouvements de «Pétrouchka» (1921) de Stravinski, débordant de couleurs et d’effets, éclatants, parfois trop démonstratifs mais intelligibles, malgré des tempi vertigineux."  Pour lire la critique intégrale de Sébastien Foucard, cliquez sur le lien.
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Une personnalité affirmée