Mort et transfiguration
En 1889, à l’âge de 25 ans, Richard Strauss s’impose comme le roi du poème symphonique. Avec Mort et transfiguration, il met en musique la dernière heure d’un artiste, entre souvenirs, souffrances, espérance et apaisement. « Météorite retentissante » (Le Soir) du monde pianistique, Benjamin Grosvenor présente avec l’OPRL la virtuosité ensorcelante de Liszt dont l’écriture lyrique et narrative regorge de beautés. C’est au poème symphonique, inventé par le même Liszt (et par César Franck) qu’appartiennent les célèbres Préludes (1854), une musique inspirée des Méditations poétiques de Lamartine, dont le chef slovène Marko Letonja restituera toute la puissance.
Programme
LISZT, Les Préludes
LISZT, Concerto pour piano n° 2
R. STRAUSS, Mort et transfiguration