Alex est une jeune fille qui adore faire des blagues. C’est d’ailleurs à sa naissance qu’elle a fait sa toute première blague. Pendant 9 mois, dans le ventre de sa maman, elle a fait croire à tout le monde qu’elle était un garçon. Et pouf quand elle est né, c’était bel et bien une petite fille et tout le monde à rigolé. Vers l’âge de 2 ans, elle découvre la parole et depuis elle ne s’est plus jamais arrêtée. Elle parlait tellement qu’un jour elle n’avait plus rien à dire. Alors, elle a commencé à inventer des histoires. Pour devenir de plus en plus forte pour raconter des histoires, elle atterrit à 20 ans à l’IAD. Elle travailla, là-bas, avec plein de grands créateurs et créatrices d’histoires (Jean-Michel D’Hoop, Myriam Saduis, Emmanuel Dekoninck,…). Elle adore aussi beaucoup chanter et créer des chansons pour ses copains et ses copines (mais chuuut c’est un secret). Aujourd’hui, Alex a 24 ans et elle va commencer de nouvelles aventures. Pour la première fois de toute sa vie elle ne doit plus aller à l’école. C’est fini ! Pour le nouveau chapitre de sa vie, on va devoir attendre un peu avant de le raconter, alors tout ce qu’on peut faire c’est lui souhaiter beaucoup de bonheur, de joie et de belles histoires pour la suite. En tout cas, elle a hâte de son tout premier rôle au théâtre pour l’Orchestre à la portée des enfants.

Après une Licence en art du spectacle à l’Université de Bordeaux, Valentin Mouligné se met en quête d’un outil théâtral qui lui corresponde mieux que le simple travail de comédien ou de metteur en scène. Il se lance alors dans les métiers de la lumière pour lesquels il a toujours ressenti une forte attirance, métiers par lesquels une simple boîte noire permet à tous les univers d’exister. Après des débuts en autodidacte, il se forme aux commandes des « jeux d'orgues » (tableaux de commande). Pupitreur depuis quelques années à l'Opéra National de Bordeaux, Valentin Mouligné travaille également pour différentes compagnies de danse et de théâtre. C'est à Bordeaux qu’il a eu le plaisir de rencontrer François Menou et d’entamer une collaboration avec lui.

Né à Borgerhout (Anvers), en 1975, le chef d’orchestre belge David Ramael a étudé la direction d’orchestre et la musicologie au Conservatoire Royal de Bruxelles, à l’Université Libre de Bruxelles, à l’Université de Vienne et à l’Université du Minnesota. De 2004 à 2013, il a enseigné la direction d’orchestre à l’Université Hofstra de l’État de New York. Entreprenant, communicatif, pionnier, il est le modèle même du chef d’orchestre moderne. À Borgerhout, il est le fondateur et directeur artistique de Boho Strings, un orchestre à cordes innovant qui brasse toutes les cultures. Il dirige régulièrement l’Orchestre Classique de Madère, le Belgian National Orchestra, l’Antwerp Symphony Orchestra (BOZAR, Concertgebouw Brugge, deSingel, De Bijloke…). www.davidramael.com

Docteure en Musique et musicologie (Université Libre de Bruxelles / Université Jean Monnet, Saint-Étienne), Hélène Sechehaye mène des recherches sur les pratiques musicales des Gnawa, une communauté confrérique d’origine marocaine installée à Bruxelles. Elle s’implique dans l’organisation de journées d’études, d’évènements de médiation et l’enregistrement d’albums. Depuis 2019, elle est membre fondatrice et présidente du comité belge de l’ICTM (International Council for Traditional Music). Professeure d’ethnomusicologie au Conservatoire Royal de Bruxelles depuis 2020, elle est chargée de recherches post-doctorales autour de la musique chaabi marocaine et particulièrement du répertoire joué par des femmes en Belgique grâce à une bourse du FNRS (Laboratoire de Musicologie, ULB, 2023-2026).