Revue de presse

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Un junior à la tête de l'OPRL

Gergely Madaras est nommé directeur musical de l'OPRL à compter du 1er septembre 2019. Présentation du jeune chef de 33 ans dans La Libre.

Articles

Music Factory : Femmes fatales

La jalousie est-elle un vilain défaut ? Réponse avec Carmen, Hérodiade et leurs consœurs, le mercredi 21 février.

Interprètes

NK (Nicolas Kurevic)

D’origines slave et italienne, NK voit le jour à Seraing, la Cité du Fer. Baigné de culture hip hop saupoudrée aux mots des poètes romantiques, il s’inspire et écrit. Plus tard, en rencontrant le Slam, il s’engage à dire… Il chronique sentiments et société en les déclamant avec tripes, humour et cynisme parce que la vie et la poésie sont comme ça… Comme on ne les attend pas. Le parcours de NK l’a amené à arpenter des scènes slam de France, d‘Allemagne ou encore de République tchèque. Sélectionné dans le cadre du Prix Paroles Urbaines (Prix littéraires délivrés par la Fédérations Wallonie-Bruxelles), NK s’est aussi distingué comme finaliste au Championnat de Belgique de Slam 2016 et comme finaliste au Championnat Francophone de Slam – Le Mans.

Josh (Josué Speranza)

Monté pour la première fois sur scène à l’âge de 17 ans, Josh est également co-organisateur et co-animateur des scènes slam organisées à La Zone depuis cinq années aujourd’hui. Du haut de son jeune âge, il a déjà foulé les planches du Championnat de Belgique de Slam, du Prix Paroles Urbaines et du Championnat francophone de slam du Mans. Trouvant son inspiration la nuit, Josh écrit comme il respire. Pour lui, le slam est une véritable bulle d’oxygène. Son passé de danseur se ressent dans la rythmique qu’il insuffle à ses textes. Technique, remplie de « punchlines » et de références, sa prose nous parle de sa vie, de sa jeunesse, de ses doutes et de ses certitudes.

Nestor (Camille Pier)

Auteur, compositeur et interprète, Camille Pier se produit sous le pseudonyme de « Nestor ». Sa carrière artistique a commencé dans le cabaret burlesque, où il faisait déjà intervenir la poésie dans ses numéros. Gagnant du prix du public au Prix Paroles Urbaines 2017, ses textes mêlent le slam, la chanson et l'humour. Son répertoire a pris, en octobre 2012, la forme d’un seul-en-scène intitulé « Nestor à votre service ». À côté de ce spectacle, il présente des cabarets de variété et programme des artistes queer dans sa « Carte Blanche Nestor ». Avec la biologiste Leonor Palmeira, il est co-auteur d'un one (wo)man show qui raconte la diversité sexuelle chez les animaux : « La Nature contre-nature (tout contre) », publié aux éditions L’Arbre de Diane.

REQ (Nathan Jonniaux)

REQ pour Remise En Question. Cet artiste se plaît à déconstruire les murs préconçus, à se détacher de représentations stéréotypées qui forment les relations humaines – trop souvent inégales et en cela trop peu reconnues. Mais n'est-il pas lui-même le fruit de préconceptions et d'inégalités ? N'est-ce pas étrange de pointer du doigt des phénomènes sociaux dont il est lui-même acteur, dont il ne peut en fin de compte se détacher totalement car noyé dans un bain socio-culturel qui le dépasse ? REQ est de ce fait le produit de contradictions. La prise de conscience de sa part de responsabilité dans des phénomènes qu'il exècre. Ses remises en question sociétales passent donc inévitablement par une profonde réflexion sur sa propre personne.

Vol au Vent (François Scheuren)

Vol au Vent (pseudonyme à double sens) est né à Liège, une nuit de printemps 1983. Petit, il voulait devenir aviateur, mais peu doué pour les mathématiques, c'est à travers l'écriture qu'il assouvit ses penchants pour la haute voltige et les pirouettes (Hip-Hop liégeoise puis Slam). Vainqueur du premier tournoi organisé à Liège en 2005, Deuxième Prix Paroles Urbaines en 2011, Troisième du championnat de Belgique 2012, il est Lauréat des Paroles Urbaines 2015 dans la catégorie Spoken Word avec le projet Grande Vacance. La discipline qu'il pratique avec régularité lui donne l'opportunité de se produire à Liège, Mons, Amay, Bruxelles, Anvers, Lille, Le mans, Paris, Lausanne. Il a publié son premier recueil Un rien avant le silence chez Maelström, en 2014.

Lisette Lombé

Lisette Lombé est une artiste belgo-congolaise aux multiples visages. Elle crée des objets poétiques (textes, collages, performances, installations) qui nous font voyager entre l’Europe et l’Afrique. Depuis plusieurs années, elle partage son amour de la poésie en animant des ateliers d’écriture qui l’ont conduite de la Belgique à l’Irak, en passant par le Congo, le Sénégal et le Maroc. Fondatrice du Collectif L-SLAM, elle a obtenu en 2015 une seconde place aux Prix Paroles Urbaines, en catégorie slam. Elle est l'auteure de deux livres : Black Words et La magie du burn-out. En 2017, la Ville de Liège lui a décerné le titre de Citoyenne d'Honneur pour l'ensemble de son travail. www.lisettelombe.com / https://www.facebook.com/Lisette-Lombé-670139706430511/

Skash (Maxime Deflandre)

« Braquer le vide. » : c’est la manière dont Maxime Deflandre, alias Skash, définit ce qui l’amène à créer ses textes. Il dépeint, à l’aide de sa verve aiguisée, les problèmes de son temps. Coordinateur de l’association « La Zone » et animateur de scènes slam liégeoises, il a été, entre autres, finaliste du Championnat de Belgique de Slam 2016, lauréat du Prix Paroles Urbaines 2016 et représentant de la Belgique à la Coupe du Monde du Slam, organisée à Paris en mai 2017. Noyé dans des allitérations et assonances en cascade, le fond de sa prose remet en question notre perception de la réalité sociétale et des vérités préconçues. Avec une touche d’espoir en toile de fond, sa poésie nous plonge la tête la première dans son environnement et ses questionnements.

Skash (Maxime Deflandre)

« Braquer le vide. » : c’est la manière dont Maxime Deflandre, alias Skash, définit ce qui l’amène à créer ses textes. Il dépeint, à l’aide de sa verve aiguisée, les problèmes de son temps. Coordinateur de l’association « La Zone » et animateur de scènes slam liégeoises, il a été, entre autres, finaliste du Championnat de Belgique de Slam 2016, lauréat du Prix Paroles Urbaines 2016 et représentant de la Belgique à la Coupe du Monde du Slam, organisée à Paris en mai 2017. Noyé dans des allitérations et assonances en cascade, le fond de sa prose remet en question notre perception de la réalité sociétale et des vérités préconçues. Avec une touche d’espoir en toile de fond, sa poésie nous plonge la tête la première dans son environnement et ses questionnements.

Valentine Dubrux (19 ans)

Née à La Louvière en 1998, Valentine Dubrux commence la clarinette à l’Académie Marcel Quinet de Binche, avec Marie-Hélène Adnet et Émilie Maggio, ainsi qu’en humanités artistiques à l’Athénée Royal Vauban de Charleroi, avec Robert Zaprzalka. Elle est lauréate du Concours Raymond Micha (2e Prix, 2013), du Concours de clarinette de Gand (grande distinction, 2013), du Concours de clarinette du Lions Club (grande distinction, 2014), du Concours européen Clari-Sax de Valenciennes (2016) et du Concours de Vélizy (Paris, 1er Prix, 2017). En 2014, elle est admise comme « Jeune talent » au Conservatoire Royal de Mons, dans la classe de Ronald Van Spaendonck. Elle suit également des cours de percussion et de saxophone en académie.

Anaïs Cassiers (19 ans)

e en 1999, Anaïs Cassiers commence le piano à six ans, à l’Institut Dalcroze de Bruxelles. À son arrivée au Maroc en 2007, elle suit l’enseignement du concertiste Beguentch Gueldyev et donne son premier récital à 11 ans, sous le parrainage de l’Institut culturel français de Rabat. À son retour en Belgique en 2011, elle poursuit sa formation sous l’égide de Roberte Mamou. « Jeune talent » du Conservatoire Royal de Bruxelles, elle y reçoit l’enseignement d’Éliane Reyes depuis 2014, et de Gabriel Teclu depuis 2015. 1er Prix du Concours Breughel (2015) et 2ds Prix des Concours Steinway et Charlier (2017), elle a suivi des masterclasses avec Abdel Rahman El Bacha, Jean-Claude Vanden Eynden, Christopher Elton, Pascal Devoyon, Lilya Zilberstein.

Pauline van der Rest (13 ans)

Née à Bruxelles en 2004, formée depuis ses sept ans auprès d’Igor Tkatchouk, professeur à l’IMEP de Namur, Pauline van der Rest rejoint, en 2012, l'Ensemble des Jeunes Solistes de Belgique, dont elle devient concertmeister en 2015. Elle est a remporté les 1ers Prix des Concours Flame de Paris (2012, 2013), Bravo de Namur (2014), Kocian en République tchèque (2014), de Stockholm (2014, 2017), Postacchini en Italie (2015), Grand-Duc Adolphe du Luxembourg (2015), de Hambourg (2017), Vieuxtemps de Verviers (2017), Grumiaux à Bruxelles (2018). « Jeune talent » à l’IMEP depuis 2017, elle a suivi des masterclasses avec Vadim Tchijik, Alexei Moshkov, Hrashya Avanesyan, Aleksey Semenenko… et est invitée régulièrement dans toute l’Europe et jusqu’à Moscou (Fondation Spivakov).

 

 

Pauline van der Rest, Prix de l’Orchestre de la Classic Academy 2018

Née à Bruxelles en 2004, formée depuis ses sept ans auprès d’Igor Tkatchouk, professeur à l’IMEP de Namur, Pauline van der Rest rejoint, en 2012, l'Ensemble des Jeunes Solistes de Belgique, dont elle devient concertmeister en 2015. Elle est a remporté les 1ers Prix de concours à Namur, Verviers, Bruxelles, Luxembourg, Stockholm, Hambourg… « Jeune talent » à l’IMEP depuis 2017, elle a suivi des masterclasses avec Vadim Tchijik, Alexei Moshkov, Hrashya Avanesyan, Aleksey Semenenko… et est invitée régulièrement dans toute l’Europe et jusqu’à Moscou (Fondation Spivakov). Le 23  juin 2018, elle remporte le Prix de l’Orchestre et le Prix du Public de la Classic Academy, ce qui lui vaut d’être invitée à jouer à nouveau avec l’OPRL, lors de la Fête de la musique 2019.

 

 

Valère Burnon

Originaire de Marche-en-Famenne, Valère Burnon étudie le piano au Conservatoire Royal de Liège avec Marie-Paule Cornia, Jean Schils, François Thiry et Étienne Rappe. Il est lauréat des concours de Namur (2012, 2e Prix), Liège (2012, 2e Prix ex-aequo – 2016, 1er Prix), Bruxelles « Breughel » (2013, 1er Prix), Bruxelles « Classissimo » (2013, 2e Prix), Charleroi (2014, 1er Prix), Visé (2015, 1er Prix), Brest (2015, 3e Prix ex-aequo) et Bruxelles « Merci, Maestro ! » (2017, 3e Prix).  Il a suivi des masterclasses avec Victor Chestopal, Yury Matynov et Jean-Bernard Pommier. Le 23 juin 2018, lors de la Classic Academy organisée par l’OPRL à l’occasion de la Fête de la musique, il se classe deuxième des votes du public, ce qui lui vaut d’être invité dans la série Musique à midi.