Concertmeister de l’OPRL et ancien « Guest Leader » de l’Orchestre Symphonique de Londres, George Tudorache (1987) commence le violon à cinq ans à Bucarest, dans sa Roumanie natale. En 2007, il poursuit ses études au Conservatoire Supérieur de Paris, avec Jean-Jacques Kantorow et Svetlin Roussev. Lauréat de nombreux concours internationaux (Rodolfo Lipizer, Colmar, Flame, Bucarest), il se produit comme soliste et concertmeister avec les orchestres de Grande-Bretagne, France, Allemagne, Autriche, Pays-Bas, Roumanie… Professeur de violon à l’IMEP (Namur), il a enregistré le Concerto de Boesmans avec l’OPRL et Gergely Madaras (Cypres, 2019). Avec l’OPRL, il a joué le Concerto de Sibelius et la Symphonie concertante de Mozart (dir. Gergely Madaras).

Formé au Mozarteum de Salzbourg (sa ville natale), Thomas Zehetmair (1961) est violoniste, chef d'orchestre et membre fondateur du Quatuor Zehetmair. Comme chef d'orchestre, il est « partenaire artistique » du Saint Paul Chamber Orchestra (Minnesota) et chef principal du Musikkollegium de Winterthur (Suisse) depuis 2016. De 2002 à 2014, il a dirigé le Royal Northern Sinfonia dont il a fait l'un des meilleurs orchestres d'Angleterre. Ses enregistrements comportent notamment le Concerto de Bernd Alois Zimmermann, les 24 Caprices de Paganini, le Concerto d’Elgar, les Concertos de Mozart, le Concerto et la Symphonie n° 1 de Schumann. Avec l’OPRL et Christian Arming, il a joué le Concerto n° 2 de Bartók en septembre 2016.

Formé au Mozarteum de Salzbourg (sa ville natale), Thomas Zehetmair (1961) est violoniste, chef d'orchestre et membre fondateur du Quatuor Zehetmair. Comme chef d'orchestre, il est « partenaire artistique » du Saint Paul Chamber Orchestra (Minnesota) et chef principal du Musikkollegium de Winterthur (Suisse) depuis 2016. De 2002 à 2014, il a dirigé le Royal Northern Sinfonia dont il a fait l'un des meilleurs orchestres d'Angleterre. Ses enregistrements comportent notamment le Concerto de Bernd Alois Zimmermann, les 24 Caprices de Paganini, le Concerto d’Elgar, les Concertos de Mozart, le Concerto et la Symphonie n° 1 de Schumann. Avec l’OPRL et Christian Arming, il a joué le Concerto n° 2 de Bartók en septembre 2016.

Né en 1959 à Bornem (au sud d’Anvers), Pierre Kerremans étudie le saxophone, le basson et la musique de chambre aux Conservatoires Royaux d’Anvers et de Liège (1979-1991). Parallèlement, il obtient un Diplôme d’assistant-bibliothécaire en Flandre et une Licence en Philosophie à la VUB (Vrije Universiteit Brussel) en 1991. Professeur de saxophone dans plusieurs Académies de Belgique et des Pays-Bas (1980-1984), il est basson 1^er soliste de l’OPRL depuis 1984 (actuellement Chef de pupitre). Professeur de basson au Conservatoire Royal de Bruxelles depuis 1994, il est très engagé dans la vie des harmonies aux Pays-Bas (Harmonies de Thorn, Eijsden…). Féru de marche à pied, il parle cinq langues (français, néerlandais, anglais, allemand et espagnol).

Né en 1959 à Bornem (au sud d’Anvers), Pierre Kerremans étudie le saxophone, le basson et la musique de chambre aux Conservatoires Royaux d’Anvers et de Liège (1979-1991). Parallèlement, il obtient un Diplôme d’assistant-bibliothécaire en Flandre et une Licence en Philosophie à la VUB (Vrije Universiteit Brussel) en 1991. Professeur de saxophone dans plusieurs Académies de Belgique et des Pays-Bas (1980-1984), il est basson 1^er soliste de l’OPRL depuis 1984 (actuellement Chef de pupitre). Professeur de basson au Conservatoire Royal de Bruxelles depuis 1994, il est très engagé dans la vie des harmonies aux Pays-Bas (Harmonies de Thorn, Eijsden…). Féru de marche à pied, il parle cinq langues (français, néerlandais, anglais, allemand et espagnol).

Né en 1992 à Charleroi, Max Charue est percussionniste, comédien et compositeur. Après avoir étudié les percussions à Mons et Strasbourg, il se tourne vers la composition, qu’il étudie avec Claude Ledoux, Gilles Gobert et Geoffrey François à Mons (Arts²). En juin 2015, il remporte le Prix de l’Orchestre et le Prix du public de la Classic Academy organisée par l’OPRL. En 2016, il crée les concertos Excursions de Gwenaël Mario Grisi (avec l’OPRL et Christian Arming) et Machine Mécanique de Claude Ledoux (avec l’ORCW et Jean-François Chamberlan). Passionné de théâtre, de vidéo et d’arts numériques, il est aussi musicien-comédien avec AkroPercu dans des spectacles d’humour musical, participant notamment quatre fois au Festival Off d’Avignon. www.maxcharue.be 

Né à Stockholm en 2001, Daniel Lozakovich commence le violon à six ans et joue son premier concerto à huit ans ! Depuis 2012, il étudie avec Josef Rissin au Conservatoire de Karlsruhe et reçoit les conseils d’Eduard Wulfson, tout en poursuivant sa scolarité au Collège du Léman à Genève. Il partage ses loisirs entre le football, la boxe, le tennis et les échecs. Lauréat de nombreux concours, il joue avec les orchestres de Paris, Lyon, Liverpool, Stockholm, Göteborg, Berlin, Munich, Vienne, Moscou, Saint-Pétersbourg, Boston, Tokyo… avec des chefs tels que Leonard Slatkin, Vasily Petrenko, Adam Fischer et surtout Valery Gergiev, qui l’assure d’un soutien privilégié. En juin 2016, il a signé un contrat d’enregistrement exclusif avec DGG.

Né en Corée, Sung-Won Yang est diplômé du Conservatoire Supérieur de Paris. Il a été assistant de Janos Starker à l’Université de l’Indiana aux États-Unis ; il est actuellement professeur de violoncelle à l’École de Musique de l’Université de Yonsei à Séoul et professeur invité à la Royal Academy of Music de Londres. Il se produit partout dans le monde en tant que soliste et chambriste. Il a enregistré de nombreux disques pour EMI-Corée (Kodály, Rachmaninov, Chopin, Bach, Beethoven) et Decca (Schubert, Dvořák, Brahms, Schumann, Messiaen). Il a créé entre autres le Concerto grosso de Peter Eötvös en Asie, avec l’Orchestre Philharmonique de Séoul, et en Autriche, avec l’Orchestre de la Radio Autrichienne. http://sungwonyang.com/bienvenue/

Le pianiste français Frank Braley n’a que 22 ans lorsqu’il remporte, en 1991, le Premier Prix et le Prix du public au Concours Reine Élisabeth de Belgique. Cette notoriété lui ouvrira les portes des plus grandes salles de concert du monde entier, jouant sous la baguette de chefs comme Charles Dutoit, Armin Jordan, Eliahu Inbal, Kurt Masur, Yehudi Menuhin, Yutaka Sado… Directeur Musical de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (ORCW) depuis 2014, il se passionne pour la musique de chambre et s’enthousiasme pour des projets originaux. Sa discographie, saluée par de nombreux prix (Diapason d’Or, « Choc » du Monde de la Musique, « Recording of the month » de Gramophone), est disponible chez Harmonia Mundi, BMG, Virgin Classics et Erato.

En 1958, Lola Bobesco crée « Les Solistes de Bruxelles », nommé ensuite « Ensemble d’archets Eugène Ysaÿe » puis Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (ORCW). Après Augustin Dumay (2003-2013) et Frank Braley (2014-2019), Vahan Mardirossian a pris la baguette pour continuer un travail d’excellence. En partenariat avec MARS (Mons Arts de la Scène) et avec le soutien de la Ville de Mons, l’ORCW présente un répertoire diversifié et original, avec des musiciens de grand renom, belges et étrangers. L’ORCW est partenaire du Concours Reine Élisabeth et de la Chapelle Reine Elisabeth, de Bozar, de Flagey et de nombreux festivals belges et étrangers. Il se produit régulièrement sous la direction de son violon conducteur, Jean-François Chamberlan. www.orcw.be

Dietrich Henschel est un baryton allemand dont le répertoire s’étend des débuts du baroque à nos jours. Il est régulièrement invité à chanter dans les grandes maisons d’opéra européennes (Monteverdi, Mozart, Rossini, Wagner, Berg, J. Strauss fils, R. Strauss, Debussy, Stravinsky, Messager…) sous la direction de John Eliot Gardiner, Philippe Herreweghe, Nikolaus Harnoncourt, Colin Davis… De nombreux concerts et enregistrements témoignent de son succès en tant qu’interprète du lied et de l’oratorio. Il interprète aussi des cycles de lieder d’Hugo Wolf (Irrsal – Tryptichon einer verbotenen Liebe) et Gustav Mahler (Des Knaben Wunderhorn, arrangement de Detlev Glanert), doublés de films qui dramatisent le contenu musical. www.dietrichhenschel.com 

Reconnu mondialement dans le répertoire classique, Johannes Chum aborde à présent le répertoire de jeune ténor dramatique. Il a chanté les principaux rôles mozartien (Tamino, Titus, Idoménée) ainsi qu’une foule d’oratorios (allant des Passions de Bach aux Sept Péchés Capitaux de Kurt Weill), dans les plus grandes salles de Vienne, Francfort, Leipzig, Amsterdam… et les opéras de Berlin, Bruxelles, Vienne, Paris, Barcelone, Cologne, Graz, Prague, Amsterdam… sous la baguette de Fabio Luisi, Jaap van Zweden, Marc Albrecht, Kirill Petrenko, Kristijan Järvi, Christopher Hogwood, Roger Norrington, Philippe Herreweghe, René Jacobs et Riccardo Chailly (avec qui il collabore depuis des années pour les Passions de Bach et plus récemment la 9e Symphonie de Beethoven).

Née à Mérida (Espagne, près de la frontière portugaise), María Espada a étudié le chant entre autres avec Mariana You Chi et Alfredo Kraus. Elle a chanté dans les plus grandes salles de Vienne, Berlin, Paris, Amsterdam, Bruxelles, Rome, Madrid, Barcelone, Budapest… sous la direction de Mariss Jansons, Iván Fischer, Ton Koopman, Andrea Marcon, Frans Brüggen, Rafael Frühbeck de Burgos, Christophe Rousset, Jesús López Cobos… avec des ensembles comme l'Orchestre Baroque de Venise, Il Giardino Armonico, Les Talens Lyriques, le Ricercar consort, mais aussi de nombreux orchestres symphoniques. Elle a enregistré pour Harmonia Mundi, Chandos, Glossa, Challenge, Naxos… http://mariaespadaweb.wixsite.com/sitio

Fondé en 2003 par le violoniste Richard Schmoucler et formé par sept autres musiciens issus de l’Orchestre de Paris, le Sirba Octet propose une lecture originale du répertoire yiddish et tzigane. Il a conçu et enregistré de nombreux spectacles : A Yiddishe Mame (Ambroisie/Naïve, 2005), Du Shtetl à New York (avec Isabelle Georges, Naïve, 2007), Yiddish Rhapsody (avec I. Georges, Naïve, 2010) – donné à la Salle Philharmonique de Liège en décembre 2015 –, Catherine Lara au cœur de l’âme yiddish (Sony, 2012), Tantz ! (La Dolce Volta, 2015). Invité par les plus grands festivals, le Sirba Octet se produit régulièrement en tournée en France et à l’étranger (Théâtre des Champs-Élysées, Concertgebouw d’Amsterdam…) ou en séries longues à Paris (La Cigale, L’Européen).

Issu d’une famille de célèbres artistes russes de Paris, Nicolas Kedroff remporte le Deuxième Prix de La Coupe du Nord (Russie). Pédagogue et concertiste, il s’est produit dans les cabarets russes parisiens Raspoutine et Balalaïka, dans de nombreuses salles et prestigieux festivals en France et à l’étranger. On le voit aux côtés d’Ivan Rebroff, Mikhaïl Rojkov, Boulou et Elios Ferré (jazz manouche), ainsi que devant des personnalités artistiques et politiques de renom (François Mitterrand, Jacques Chirac…). Invité par les orchestres de Lausanne, Anger-Nantes et Lyon, il a enregistré une trentaine de disques et est Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres. La presse le qualifie de « virtuose de son instrument » ou bien « d’extraterrestre de la balalaïka ». www.labalalaika.com

Après avoir étudié la guitare et le luth en autodidacte, le Liégeois Philippe Pierlot (1958) se tourne vers la viole de gambe qu’il étudie avec Wieland Kuijken. Il se consacre à la musique de chambre, à l’oratorio et l’opéra, et partage son activité entre la viole de gambe et la direction. Passionné par la musique ancienne, il aime aussi susciter des créations contemporaines. Pour encourager et à parrainer les jeunes artistes, il a fondé le label Flora. Professeur au Conservatoire Royal de Bruxelles mais résidant à Spa, il y organise depuis 2015 un séminaire international autour de la viole de gambe, le Festival « Printemps Baroque de Spa » ainsi qu’un petit cycle de concerts estivaux où les jeunes artistes créatifs peuvent proposer leur vision de la musique ancienne aujourd’hui.

Né à Liège en 1958, Philippe Pierlot étudie la guitare et le luth en autodidacte, avant de se tourner vers la viole de gambe qu’il étudie auprès de Wieland Kuijken. Avec le Ricercar Consort, qu’il a fondé en 1985, il se consacre à la musique de chambre, l’oratorio, l’opéra, la viole de gambe et la direction. Il y a une quinzaine d’années, il a fondé (avec ses collègues et amis Rainer Zipperling et François Fernandez) le petit label Flora, qui invite d’autres artistes à produire leurs projets personnels. Installé à Spa, il y organise depuis 2015 un séminaire international autour de la viole de gambe ainsi qu’un cycle de concerts estivaux où de jeunes artistes créatifs peuvent proposer leur propre vision de la musique ancienne aujourd’hui.

Fondé en 1985, dirigé aujourd’hui par Philippe Pierlot, le Ricercar Consort acquiert très vite une réputation internationale (notamment dans la musique instrumentale baroque allemande) et enregistre une cinquantaine de disques. Soutenu par la Fédération Wallonie-Bruxelles, il se produit dans de prestigieux festivals comme ceux de Boston, Édimbourg, Utrecht… L’ensemble alterne la musique sacrée (Bach, Haendel, Pergolèse…), l’opéra et la musique de chambre (où la viole occupe une part importante). Le CD consacré au Magnificat et à une Messe de Bach (Mirare, 2009), a été récompensé par le prestigieux Prix Charles Cros. Celui consacré à l’entourage du compositeur Franz von Biber (Mirare, 2016) a reçu un Diapason d’or.www.ricercarconsort.com

Originaire de Thüringe, l'Allemand Matthias Vieweg étudie le chant (et le piano) au Conservatoire Hanns Eisler de Berlin, avec Günther Leib. Lors de masterclasses, il recueille les conseils de Dietrich Fischer-Diskau et Peter Schreier. Premier Prix du Concours de la Société Richard Strauss, il est nominé au Concours International Bach de Leipzig. Il est alors invité à se produire sous la direction de Helmuth Rilling, René Jacobs Wolfgang Sawallisch… avec des ensembles comme l'Académie für Alte Musik, le Collegium Vocale, le Ricercar Consort, l’Orchestre Symphonique de Berlin… Il a chanté notamment dans l’opéra Le Nez de Chostakovitch (dir. Kent Nagano), et dans Moïse et Aaron de Schönberg (dir. Daniel Barenboim). www.matthias-vieweg.de

D’origine islando-écossaise, la soprano Hannah Morrison a grandi en Hollande où elle a fait des études de chant et de piano. Elle a poursuivi ses études au Conservatoire de Cologne (Licence de concerts dans la classe de Barbara Schlick) et à la Guildhall School of Music and Drama de Londres (Master en ‘Music in Performance’ avec Rudolf Piernay). Vivant à Cologne, elle chante avec Les Arts florissants, le Bach Collegium du Japon, le Musik Podium de Stuttgart, le Beethoven Orchester de Bonn, la Capella Augustina, le Chœur de la Radio bavaroise… sous la direction de John Eliot Gardiner, William Christie, Masaaki Suzuki, Philippe Herreweghe… Elle a donné des récitals de lieder avec les pianistes Eugene Asti et Graham Johnson en Angleterre.