Parallèlement à sa carrière de danseur (diplômé de P.A.R.T.S Bruxelles, 2010), Stanislav Dobákest est actif en tant que réalisateur de films de danse, caméraman, pilote de drone et opérateur Steadicam. Il collabore avec les médias numériques et co-crée des films de danse. Ses œuvres ont été présentées dans des festivals de films internationaux, diffusées à la télévision et dans des installations d’images en mouvement, ce qui lui a valu le surnom de « caméraman danseur ». Il dirige et développe actuellement un atelier créatif dance@camera qui s’adresse à la nouvelle génération de créateurs et de praticiens artistiques qui sont nés dans la nouvelle ère numérique dans laquelle une forte présence en ligne joue un rôle vital. www.stanislavdobak.com

Après avoir étudié la danse contemporaine au Conservatoire de Caen, Marion Sage obtient un Master en « Études en danse » à l’Université Paris 8 puis un doctorat sur les danseuses et danseurs « de gauche » exilé.e.s de l’Allemagne nazie à la Freie Universität Berlin et à l’Université de Lille. Après une formation chorégraphique à l’Abbaye de Royaumont, elle travaille pendant un an au Vivat d’Armentières puis crée sa première pièce chorégraphique Grand tétras (Charleroi danse, 2021). Elle travaille aussi comme performeuse pour d’autres chorégraphes. Avec l’artiste sonore Anne Lepère, elle invente des performances et ateliers autour de récits croisant des mythologies et des recettes de cuisine conçus pour différents médias : la radio, les revues, le théâtre. www.marionsage.net

Née à Florence et diplômée de la Codarts Rotterdam Dance Academy en 2007, Marta Capaccioli travaille comme interprète pour d’innombrables chorégraphes. En 18-19, elle est choisie et formée par Marina Abramović et Lynsey Peisinger pour la rétrospective Marina Abramović : The Cleaner, en tant qu’interprète de six re-performances de l’artiste. Elle est membre active de groupes de recherche et de création (Stabile di Lì, Karolin Stächele/Yannis Karalis, theVision) en tant que danseuse, et depuis 2014 également, en tant qu’autrice et chercheuse de nouvelles formes de coexistence et de développement créatif. Elle est professeur certifiée de yoga Iyengar. Parallèlement à la danse, elle se consacre également à l’acte créatif à travers le dessin. Elle réside actuellement à Paris.

Arrière-petite-nièce de Léon Bakst (peintre, décorateur et costumier de la compagnie de Diaghilev), formée au Conservatoire Supérieur de Paris en danse contemporaine, Lara Barsacq agit en tant que chorégraphe (1994-2004), puis comme interprète pour d’autres d’autres chorégraphes, puis à nouveau en tant que chorégraphe (avec Gaël Santisteva). Pour Charleroi danse (La Raffinerie, Bruxelles), elle crée plusieurs spectacles : le solo Lost in Ballets russes (2018), le trio IDA don’t cry me love (2019), le quatuor Fruit Tree (2021) et le sextuor La Grande Nymphe (dans le cadre du Kunstenfestivaldesarts, 2023). Elle est accompagnée par Grand Studio et a fait partie des artistes du Réseau Grand Luxe. De 2024 à 2028, elle sera accueillie en compagnonnage au Théâtre de Liège.

Formé au Conservatoire de Paris et à la Schola Cantorum Basiliensis avec Hopkinson Smith, Thomas Dunford est l’un des luthistes les plus polyvalents et les plus demandés d’aujourd’hui, à la fois comme soliste et comme musicien d’ensemble. Il a donné des récitals en solo dans les plus grandes salles de concert du monde (New York, Londres, Washington, Barcelone). Il joue dans les plus grands festivals de musique ancienne, avec des chefs comme Philippe Herreweghe, William Christie, Jonathan Cohen, Trevor Pinnock et John Eliot Gardiner. Son CD Lachrimae a reçu le Prix Caecilia en 2013, et son album suivant Labirinto d’Amore, un « Choc » du magazine Classica. Thomas et l’Ensemble Jupiter enregistrent pour Warner Classics. www.thomas-dunford.com

Formé au Conservatoire de Paris auprès de Michaël Hentz, Théotime Langlois de Swarte joue les concertos baroques et classiques (Haydn et Mozart). Il a reçu le « Diapason d’or de l’année 2022 » et le Prix « Ambassadeur de l’année 2022 » du Réseau européen de musique ancienne. En 2023, il a dirigé Lully et Grétry à l’invitation de Marc Minkowski et Louis Langrée. Avec l’ensemble baroque Le Consort (qu’il a fondé avec le claveciniste Justin Taylor), il fait sa première tournée nord-américaine en 2023-2024. Il sera également en tournée avec William Christie et Les Arts Florissants en 2025 aux États-Unis. Théotime joue sur un violon Jacob Stainer de 1665 (Fondation Jumpstart) et un Alessandro Gagliano de 1700 (Association Zylber). www.theotimelangloisdeswarte.com

La cheffe américaine d’origine colombienne Lina González-Granados a étudié la direction d’orchestre et la direction de chœur au New England Conservatory et à l’Université de Boston. Ses principaux mentors sont Riccardo Muti, Marin Alsop, Bernard Haitink, Bramwell Tovey et Yannick Nézet-Séguin. Premier Prix du Concours de direction Sir Georg Solti du Chicago Symphony Orchestra, elle a été nommée chef d’orchestre en résidence de l’Opéra de Los Angeles (jusqu’en juin 2025). Elle a également occupé des postes de chef d’orchestre à l’Orchestre de Philadelphie et à l’Orchestre Symphonique de Seattle. Troisième Prix ECHO (European Concert Hall Organization), elle dirige la plupart des grands orchestres américains et européens. www.linagonzalezgranados.com

Né à Madrid en 1991, Pablo Ferrández étudie le violoncelle avec Natalia Shakhovskaya à Madrid et avec Frans Helmerson à l’Académie de Kronberg. Lauréat du Concours Tchaïkovski de Moscou (2015), artiste exclusif de Sony Classical et boursier de la Fondation Anne-Sophie Mutter, il a enregistré l’album Reflections (2021, Opus Klassik Award) et le Double Concerto de Brahms (avec Anne-Sophie Mutter, la Philharmonie tchèque et Manfred Honeck). Il est l’hôte de la plupart des grands orchestres européens et américains. En 2023-2024, il fait notamment ses débuts avec les orchestres de Boston, San Francisco, Pittsburgh et Seattle. Il joue sur le Stradivarius « Archinto » (1689), généreusement prêté à vie par un membre de la Stretton Society. www.pabloferrandez.com

Né à Budapest en 1986, Jenő Lisztes étudie le cymbalum avec son père et son grand-père puis à l’Académie Franz Liszt de Budapest. Membre de l’Ensemble Roby Lakatos depuis 2006, il possède aussi son propre trio de jazz, le Jenő Lisztes Cimbalom Project. Il a joué au Carnegie Hall de New York, au Musikverein de Vienne, au Concertgebouw d’Amsterda, aux Palais des Beaux-Arts de Bruxelles et de Budapest, avec plusieurs formations. En 2012, il a enregistré la partie de cymbalum de Hans Zimmer pour le film hollywoodien intitulé Sherlock Holmes : A Game of Shadows. Il a été invité par Ivan Fischer et l’Orchestre du Festival de Budapest à jouer en tant que soliste aux BBC Proms en 2018. Il est également membre et soliste du célèbre 100 Gypsy Orchestra.

Issu d’une famille de sept générations de musiciens, Lajos Sárközi a étudié le violon à l’Académie Franz Liszt de Budapest. Il a appris la musique tzigane hongroise dans l’ensemble de son père et a ensuite fondé son propre groupe, avec lequel il joue en Allemagne, France, Italie et aux États-Unis. Premier Prix du Concours de violon hongrois Ede Zathureczky en 2009, il est directeur artistique du Gypsy Philharmonic Orchestra depuis 2015. Il joue avec des artistes et ensembles aussi prestigieux que Joshua Bell, Ivan Fischer, Barnabas Kelemen, Kristóf Barati, István Várdai, l’Orchestre de chambre Franz Liszt, l’Orchestre Symphonique Danubia et de nombreux orchestres d’artistes majeurs. Lajos Sárkösi joue sur un violon de Nicolo Gagliano de 1761, prêté par l’État hongrois.

Depuis tout petit, Simon court tout le temps. À 10 ans, il commence des cours de théâtre et trouve enfin une manière de canaliser toute cette créativité débordante. En grandissant, Simon devient comédien et auteur. Il affectionne les histoires poétiques, le comique visuel, et les punchlines acides. Il est passionné de stand-up et de musique. Depuis sa sortie de l’Institut des Arts de Diffusion en 2021, il se défoule en s’exerçant au combat-cascade et à l’escrime artistique dans des projets dont les chorégraphies de combat sont signées par Émilie Guillaume. Il a battu le fer, notamment dans Les Chevaliers de la Table ronde et Roméo et Juliette au Théâtre du Parc et à l’Abbaye de Villers-la-Ville. Simon a joué également dans La Fable du Lion et de l’Hippopotame (mis en scène par Dominique Serron) ou encore Le Petit Prince pour l’OPE, en 2023, aux côtés de l’OPRL !

Formé à Lille, Boulogne-Billancourt et Paris auprès de Marc Lys, Jean-Michel Dayez, Hortense Cartier-Bresson, Roger Muraro, Isabelle Dubuis, Claire Désert, Alain Planès et Pierre-Laurent Aimard, Clément Lefebvre (1989) remporte le 1^er Prix et le Prix du public au Concours James Mottram de Manchester (2016) et est lauréat du Concours Long-Thibaud (2019). Ses disques Rameau-Couperin (Evidence Classics, 2018) et Ravel (Evidence, 2021) sont primés par Diapason et Classica. Avec le violoniste Shuichi Okada, il a aussi enregistré un album consacré à Brahms, Robert et Clara Schumann (Mirare, 2019). Depuis 2023, il est professeur de piano assistant de Marie-Josèphe Jude au Conservatoire Supérieur de Paris. www.clementlefebvrepianiste.com

Depuis sa création en 2000, l’Ensemble Basiani a popularisé la polyphonie traditionnelle géorgienne (« patimoine oral et immatériel de l’humanité » depuis 2001) non seulement en Géorgie mais aussi lors de concerts et symposiums tenus dans le monde entier (Auditorium de Madrid, Concertgebouw d’Amsterdam, Fondation Gulbenkian de Lisbonne, Salle Philharmonique de Saint-Pétersbourg, Mostly Mozart Festival de New York, Bing Concert Hall de Stanford, La Cité du Vin de Bordeaux, Conservatoire de Pékin…). La presse américaine et européenne couvre abondamment ses concerts. L’Ensemble a enregistré plus de 300 chants et hymnes traditionnels, publiés en divers albums. En 2013, il a reçu le statut d’Ensemble d’État de Géorgie. www.basiani.ge

Disciple de Vitaly Margulis à Fribourg-en-Brisgau et de Pavel Gililov à Cologne, lauréat de nombreux concours, Andreas Frölich (1963) joue avec les plus grands orchestres du monde entier. Il a enregistré plus de 40 CD pour les plus grands labels. Directeur artistique et président du concours de piano MozArte et du Festival d’Aix-la-Chapelle, et de la série de concerts Orpheo de Kerkrade (Pays-Bas), Andreas Frölich enseigne à la Hochschule für Musik und Tanz de Cologne, à la Kalaidos Musikhochschule de Zurich et à la Talent Music Masters Academy de Brescia, tout en étant professeur invité à l’Académie d’été du Mozarteum de Salzbourg. Ces dernières années, ses élèves ont remporté plus de 150 prix (Premiers et Seconds) lors de concours internationaux de piano.

Raft Quintet :
Jan Nihoul, vibraphone
Koen Toté, contrebasse et guitare basse
Peter Van Tichelen, batterie
Koen Nys, saxophone et EWI (Electronic Wind Instrument)
Costa Arvanitidis, guitare

Raft Trio

Avec le vibraphone comme instrument principal, le Raft Trio vise avant tout la transparence et l’émotion. Cet alliage si particulier de timbres, tout à la fois limpide et expressif, est une des caractéristiques du Raft Trio qui le rapproche de trios mythiques comme ceux d’Avishai Cohen et de Brad Mehldau. Le nom du groupe, Raft (« radeau »), évoque les grands courants et les revirements inattendus du flux musical, vécus comme une véritable expérience de rafting. Seule une équipe de musiciens solidement soudée peut générer cette musique puissante qui fait leur identité. Leur but ? Offrir un moment d’exception, une expérience unique, dont la forte impression résonne encore longtemps après les dernières notes.

Jan Nihoul, vibraphone

Après avoir étudié la percussion et la musique de chambre au Conservatoire d’Anvers (1983-1987), Jan Nihoul enseigne dans les Académies de Tongres, Mol et Geel (1988-2000). De 1992 à 1997, il joue dans le band de Daniel Romeo et aussi avec Guido Belcanto. Directeur de l’Académie de Tongres dès 2000, il joue pendant sept ans dans le groupe d’improvisation Vollemaan avec Bert Van Laethem (violon), Johan Bossers (piano) et David Geeraerts (batterie). Il participe à l’enregistrement des albums « Drivin’ » (2003) et « Burnin’ » (2007) du groupe The Jazzvan de Chris Mentens. Il joue actuellement dans le Raft Trio et dans un quartet de jazz avec Bart Denolf (contrebasse), Tony Gyselinck (batterie) et Marc Matthijs (piano).

Koen Toté, contrebasse et guitare basse

Délaissant ses premières amours (la guitare et le violoncelle), Koen Toté s’intéresse à la contrebasse, qu’il étudie avec Robby Hellyn. Après des études d’ingénieur du son au RITCS (pendant flamand de l’INSAS à Bruxelles), il poursuit sa formation à Bruxelles avec Frank Coppieters, à Louvain avec Jan Buysschaert et à Zurich avec Duncan McTier. Nommé à l’Orchestre de la Radio Flamande (Brussels Philharmonic) en 2006, il rejoint l’OPRL en 2009. Également actif dans la musique pop et la musique de film, il est contrebassiste, trompettiste, compositeur et arrangeur du groupe flamand Buurman et joue régulièrement avec d’autres artistes. On peut entendre sa contrebasse sur les bandes son de Fly Me to the Moon et de The Aviator, et le CD Milow de Milow.

 Peter Van Tichelen, batterie

Né en 1979, Peter Van Tichelen est le fils de Willy Van Tichelen, ancien basson 1er soliste de l’OPRL. Dès 1986, il étudie les percussions avec Jan Nihoul et le basson avec son père, dans les Académies de Tongres et Maasmechelen. Il poursuit ensuite ses études au Conservatoire Royal Flamand d’Anvers avec Carlo Willems, Koen Wilmaers et Leo Ouderits, tout en suivant des masterclasses avec David Friedmann et Chris Joris. En 2001, il est timbalier de l’Orchestre National Symphonique de Chine. De retour en Belgique, il s’investit dans des formations très diversifiées, allant du classique à la musique contemporaine, du jazz à la danse latino-américaine. Depuis 2002, il est percussionniste 1^er soliste de l’OPRL, et depuis 2005, batteur du groupe Moodlex.

Koen Nys, saxophone et EWI (Electronic Wind Instrument)

Né en 1965, à Schriek (entre Malines et Hasselt), Koen Nys étudie le saxophone au Jazz Studio d’Anvers (avec John Ruocco), aux Jazz Workshops de Dworp (avec Joe Lovano) et à l’Université McGill de Montréal (diplôme de « Jazz Performance »). Il vit ensuite à Tokyo, Banff (Canada), où il participe au Jazz Workshop (avec Kenny Wheeler et Joe Labarbera), New York, où il travaille avec George Garzone, profite au maximum de la scène jazz new-yorkaise et enregistre son premier CD. Après un bref retour à Montréal et un passage par Les Émirats et la Corée du Sud, il revient en Belgique, où il est actif dans de nombreux groupes. Professeur au Jazz Studio d’Anvers et dans les Académies de Tongres, Heist-op-den-Berg et Lennik, il joue avec Milleniums et son propre quartet.

Costa Arvanitidis, guitare

Né en 1965, Costa Arvanitidis joue de la guitare depuis l'âge de 13 ans. Formé à la Hallewynstichting (studio de jazz) d’Anvers, auprès de Pierre Vandormael et Peter Hertmans, il suit également des masterclasses avec Frank Gambale et Scott Henderson. Il a joué avec des artistes tels que Gloria Gaynor, The Three Degrees, Supremes, Johnny Logan. Il joue également du jazz fusion (ou jazz-rock) dans son propre groupe (Icaros) et avec Ipso Facto. Il a participé à de nombreuses sessions d’enregistrement. Il est parti en tournée avec Helmut Lotti au Canada, en Afrique du Sud, en Australie et aux États-Unis. Il enseigne dans les Pentagoon Academies de Tongres et à l'Académie de Genk.

Le pianiste, compositeur et arrangeur Pablo Ziegler (Buenos Aires, 1948) est l’une des figures les plus importantes du tango nuevo argentin, ce mélange de tango traditionnel, de jazz américain et de musique européenne. Après avoir joué dans le légendaire quintette d’Astor Piazzolla, et participé aux enregistrements emblématiques du maître, Ziegler a repris le flambeau avec son trio, son quartet et ses ensembles mixtes, se produisant dans des lieux aussi mythiques que le Carnegie Hall et le Lincoln Center de New York (en plein air), le Royal Albert Hall de Londres, le Muziekgebouw d’Amsterdam, l’Opéra de Sydney, le Theatre Colon de Buenos Aires, l’Arts Center de Séoul, l’Opéra de Tokyo… Il joue également en soliste avec de nombreux orchestres. www.pabloziegler.com

Formé à l’orgue, au clavecin et au piano auprès de Michel Bouvard, Louis Robilliard, Philippe Lefebvre, Jan Willem Jansen et Thérèse Dussaut, Jean-Baptiste Dupont est lauréat des concours d’interprétation de Toulouse (2008) et Kaliningrad (2009), et vainqueur du concours d’improvisation de Saint Albans (2009). Il a donné près de 600 récitals dans toute l’Europe, aux États-Unis et en Russie. Nommé sur concours organiste de la cathédrale de Bordeaux en 2012, il a enregistré une quinzaine de disques. Trois nouveautés en 2023 : les CD 9 et 10 de l’intégrale Reger et un disque d’improvisation enregistré à la cathédrale de Monaco (tous les trois chez Hortus). Il a été membre de jurys aux États-Unis, en France, en Suède et en Allemagne. www.jeanbaptistedupont.com

Formé d’abord par son père, le violoncelliste norvégien Truls Mørk (1961) a poursuivi ses études avec Frans Helmerson, Heinrich Schiff et Natalia Chakhovskaïa (élève de Rostropovitch). Vainqueur des Concours Tchaïkovski de Moscou (1982), Cassado de Florence (1983) et Naumberg de New York (1986), il joue avec les plus grands orchestres du monde entier. Il a créé plus d’une trentaine d’œuvres et a enregistré de nombreux concertos pour des labels tels que Virgin Classics, EMI, DGG, Ondine, Arte Nova, Chandos et Alpha Classics, dont beaucoup ont été récompensés : J.-S. Bach, C.P.E. Bach, Massenet, Saint-Saëns, Dvořák, Elgar, Britten, Miaskovski, Prokofiev, Chostakovitch (avec l’Orchestre Philharmonique d’Oslo et Vasily Petrenko), Dutilleux, Rautavaara…