Symphonie fantastique

Pour leur retour aux matinées du Concertgebouw d’Amsterdam, l’OPRL et Gergely Madaras mettent à l’honneur des pages narratives de l’époque romantique : l’ouverture d’Egmont (1810) de Beethoven qui souligne le rêve de la liberté face à une Europe tyrannique, et la Symphonie fantastique de Berlioz (1830) qui décrit les délires psychédéliques d’un jeune artiste sous l’effet de l’opium.

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